Finales Nationales à Géronsart : les Djums à l’honneur

Vous avez déjà foulé les allées des terrains de tennis de notre cher club? Avez-vous déjà remarqué deux jeunes filles, d’apparence assez similaire, nées en 2002. Moi, c’est sûr, je ne peux pas passer à côté! Il y a Antoinette et Victorine. Au premier regard, difficile de distinguer qui est l’une et qui est l’autre. Mais à force de les côtoyer, je peux vous dire qu’elles sont si différentes. Sur un terrain ou en-dehors. Enfin, esprit de corps oblige, elles se complètent à la perfection, en équipe (durant les interclubs) à chaque fois qu’il le faut pour offrir à l’Orée ses plus beaux titres de noblesse dans leur catégorie…

Deux simples puis le double et le tour est joué. Les matchs régionaux ne furent qu’une simple formalité. Soyons honnêtes tout de même : la catégorie des filles moins de 10 ans ne fut pas la plus courue cette année. Et d’un autre côté, ne boudons pas notre plaisir : celles qu’ Hélène, leur maman, surnomme «les Djums», sont dans les meilleures du Brabant voire du Royaume!

Sous l’œil attentif et ambitieux de leur papa, Paul, les filles s’échauffent sur le terrain ce samedi 8 septembre dans le club de Géronsart, à Namur. Les rencontres vont bientôt débuter… Notre club de l’Orée y est particulièrement bien représenté en ce millésime 2012, 3 équipes en demi-finale, un très grand cru!

Ce samedi donc, ce sont les demi-finales, je suis sur le banc, le coaching est permis en interclubs, et c’est bien une des seules fois de l’année où on peut tout donner en tant que coach car le tennis, sport individuel, interdit toute forme de conseils en tournoi individuel.

La tension est bien plus présente que d’habitude mais voilà, les tactiques mises en place et leurs applications immédiates font la différence : demi-finale expédiée et victoire finale le lendemain.

Antoinette et Victorine Adam sont championnes… Soyons plus précis, championnes de la région Wallonie-Bruxelles. Enfin si j’ai bien retenu l’appellation exacte. On ne joue pas contre nos amis flamands. Dommage.

Quoi qu’il en soit, performance de choix et fierté oréenne. En ma qualité de responsable du team, je suis ravi de ce titre, amplement mé-ri-té! C’est d’ailleurs l’occasion de rendre hommage à tout le travail effectué par l’ensemble des moniteurs qui ont encadré «nos» jumelles.

Rendez-vous l’année prochaine à l’échelon supérieur chez les Minimes pour la confirmation?

Raph